jeudi 27 octobre 2016
bonjour à tous!
demain Embrun accueille 25 migrants en provenance de Calais, dans le site de Chauveton, loué par la municipalité à France Terre d'Asile. Il s'agit d'un CAO (centre d'accueil et d'orientation), qui fonctionnera pour une durée limitée (3 mois) .
Il me semble important de conseiller la lecture de l'article dont vous voyez le lien ci-dessous. Trop de fausses idées circulent!
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/migrants/20161025.OBS0313/alloc-carte-bancaire-hlm-secu-12-intox-sur-les-migrants-decryptees.html
Bonne lecture! (oui je sais, c'est devenu un tic... )
Marie Claude
samedi 22 octobre 2016
Adieu à Pierre Léon VITOUX ...
Bonjour à tous,
nous venons d'apprendre, avec beaucoup de
tristesse, de la part de Welcome de Gap et de sa famille, le décès soudain de Pierre Léon
Vitoux de la Cimade.
Pour mémoire et pour ceux qui ne le connaissait
pas, Pierre Léon a toujours fait partie de nos réunions
dès le début entre collectifs et nous a toujours soutenus.
Il était toujours enthousiaste et partant pour des actions et répondait présent à chacune de nos sollicitations.
Dernièrement
nous l'avions vu à la foire bio et à la fête OASIS de Gap où il avait
interprété des scènettes avec les migrants de Gap au CMCL, il était à la
dernière réunion avec la Cimade de Gap avec
Françoise (à côté de Marie-Claude).
Toujours attentif à l'actualité locale, il suivait avec attetnion l'arrivée des migrants à Embrun et nous avait envoyé un message, suite à
l'article du DL sur l'arrivée des migrants, pour nous alerter s'il n'y
avait pas une confusion entre CAO et CADA.
Des représentants d'Icare 05 iront aux obsèques de Pierre Léon ce 25 octobre 2016.
Rv pour co voiturer si besoin auprès de Geneviève ou Marie Claude, ou via le blog, départ 14H.
Pierre Léon à Embrun, lors du lancement du collectif à Embrun avec la CIMADE et Welcome. |
vendredi 21 octobre 2016
samedi 15 octobre 2016
Soirée du 14 octobre : un succès
Plus de 70 personnes s'étaient réunies autour du groupe musical SAVINA et des 4 jeunes éthiopiens.
Ambiance conviviale, musiques, danses, rencontres, échanges, ...
Ce fut l’occasion de présenter l'exposition "Un an à Calais" de Loup Blaster.
Nos 4 jeunes se sont pris au jeu et ont dansé sur de la musique OROMO.
Un plaisir partagé par tous.
Merci au groupe SAVINA de nous avoir fait partager leur répertoire.
Ambiance conviviale, musiques, danses, rencontres, échanges, ...
Ce fut l’occasion de présenter l'exposition "Un an à Calais" de Loup Blaster.
Nos 4 jeunes se sont pris au jeu et ont dansé sur de la musique OROMO.
Un plaisir partagé par tous.
Merci au groupe SAVINA de nous avoir fait partager leur répertoire.
dimanche 9 octobre 2016
samedi 1 octobre 2016
Sombres perspectives pour les réfugiés de la Jungle de Calais
Le 26 septembre, François Hollande s’est engagé à « complètement et
définitivement démanteler la Jungle de Calais
avant la fin de l'année.
Pourtant, ils sont encore 10 000 réfugiés à tenter de survivre dans ce camp, dont plus de 500 mineurs étrangers isolés.
Les préfets doivent créer entre 9 000 et 12 000 places d'hébergement sur l'ensemble du territoire d'ici la fin de l'année. Mais nombre de réfugiés n'ont souvent reçu qu'une information partielle, pas toujours dans leur langue.
« Il leur faudrait changer de projet de vie et demander l'asile en France alors que leur désir reste à terme de rejoindre la Grande-Bretagne pour laquelle Calais reste la principale voie d’accès », explique Franck Esnée, chef de mission MSF en France.
En effet, nombreux sont ceux qui continuent de rejoindre la Jungle, comme Abdo, un jeune Syrien âgé de 25 ans. « La France veut fermer le camp. Où allons-nous nous installer ? Ils ne peuvent pas juste appuyer sur un bouton et nous faire disparaître. »
Pourtant, ils sont encore 10 000 réfugiés à tenter de survivre dans ce camp, dont plus de 500 mineurs étrangers isolés.
Les préfets doivent créer entre 9 000 et 12 000 places d'hébergement sur l'ensemble du territoire d'ici la fin de l'année. Mais nombre de réfugiés n'ont souvent reçu qu'une information partielle, pas toujours dans leur langue.
« Il leur faudrait changer de projet de vie et demander l'asile en France alors que leur désir reste à terme de rejoindre la Grande-Bretagne pour laquelle Calais reste la principale voie d’accès », explique Franck Esnée, chef de mission MSF en France.
En effet, nombreux sont ceux qui continuent de rejoindre la Jungle, comme Abdo, un jeune Syrien âgé de 25 ans. « La France veut fermer le camp. Où allons-nous nous installer ? Ils ne peuvent pas juste appuyer sur un bouton et nous faire disparaître. »
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